Il ne s'agit pas de tout prendre et de les diffuser. Puisqu'il y a besoin de recouper l'information mais aussi et surtout de la vérifier, la revérifier même s'il le faut.
C'est ce qu'on appelle le fact checking. Ce terme anglais signifie vérifier l'information. Il a été crée par Peter Cunliffe-Jones, celui là même qui a fondé Africa check en 2012. Le site web Africa check publie des articles d'information mais aussi se trouve être une organisation.
A travers le fact checking, leurs journalistes vérifient la fidélité et l'égalité même des propos des autorités. Ils essaient d'aller un peu plus loin dans leurs recherches et vérifications différemment des médias traditionnels qui ne font que rapporter les faits tout simplement.
Au début, les articles étaient en anglais c'est à partir de Novembre 2015 qu'ils ont commencé à les faire en français. Leurs bureaux se trouvent dans 4 villes Africaines: Johannesburg, Dakar, Nairobi et Lagos. Et c'est au Sénégal qu'ils ont ouvert leur 2e bureau.
Leur travail est très simple, ils ne s’intéressent qu'aux déclarations des autorités. Ce dans des sujets qui touchent directement les populations, par exemple dans les domaines de la santé, l'éducation, le social,l'économie etc.
Seulement, il faut souligner que les critères de sélection des sujets sur lesquels ils vont enquêter sont: 1- ça doit être une déclaration d'un pouvoir public, 2- ça doit aussi être dans le présent et non des projections vers le futur.
Juste souligner que ce travail a des problèmes que sont la difficulté à joindre la personne concernée et qui aurait tenu les propos ou fait les déclarations. Car tout travail de fact checking ou vérification de l'information commence par cela on contacte en premier le concerné.
Ce type de travail est à saluer et à valoriser afin que le journalisme retrouve son lustre d'antan.
Toutes ces explications ont été données par des responsables du site web Africa check, lors de leur venue au Cesti dans le cadre d'une rencontre avec des étudiants de l'établissement. Les invités étaient: Peter Cunliffe-Jones directeur exécutif de la structure, Assane Diagne, rédacteur en chef du site en Afrique francophone, et Samba Dialimpa Badji, rédacteur en chef adjoint pour l'Afrique francophone.
A travers le fact checking, leurs journalistes vérifient la fidélité et l'égalité même des propos des autorités. Ils essaient d'aller un peu plus loin dans leurs recherches et vérifications différemment des médias traditionnels qui ne font que rapporter les faits tout simplement.
Au début, les articles étaient en anglais c'est à partir de Novembre 2015 qu'ils ont commencé à les faire en français. Leurs bureaux se trouvent dans 4 villes Africaines: Johannesburg, Dakar, Nairobi et Lagos. Et c'est au Sénégal qu'ils ont ouvert leur 2e bureau.
Leur travail est très simple, ils ne s’intéressent qu'aux déclarations des autorités. Ce dans des sujets qui touchent directement les populations, par exemple dans les domaines de la santé, l'éducation, le social,l'économie etc.
Seulement, il faut souligner que les critères de sélection des sujets sur lesquels ils vont enquêter sont: 1- ça doit être une déclaration d'un pouvoir public, 2- ça doit aussi être dans le présent et non des projections vers le futur.
Juste souligner que ce travail a des problèmes que sont la difficulté à joindre la personne concernée et qui aurait tenu les propos ou fait les déclarations. Car tout travail de fact checking ou vérification de l'information commence par cela on contacte en premier le concerné.
Ce type de travail est à saluer et à valoriser afin que le journalisme retrouve son lustre d'antan.
Toutes ces explications ont été données par des responsables du site web Africa check, lors de leur venue au Cesti dans le cadre d'une rencontre avec des étudiants de l'établissement. Les invités étaient: Peter Cunliffe-Jones directeur exécutif de la structure, Assane Diagne, rédacteur en chef du site en Afrique francophone, et Samba Dialimpa Badji, rédacteur en chef adjoint pour l'Afrique francophone.
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