jeudi 29 décembre 2016

2016, une année de "surprises"

         
           L'année 2016 tire à sa fin. Longue de 366 jours, elle nous aura marqué de par ses nombreuses "surprises". D'Afrique en Amérique en passant par l'Europe, l'Océanie et l'Asie, chacun de ces continents a fait l'actualité à un moment de l'année. En passant de la politique à l'économie, et dans bien d'autres domaines aussi, des hommes et des femmes se sont fait remarquer cette année en créant la surprise.

                 Politique

Si en Amérique, c'est l'exemple des Etats-Unis qui nous aura le plus marqué avec l'élection de Donald Trump aux présidentielles américaines du 8 Novembre 2016. Il devient ainsi le 45e président des Etats-Unis d'Amérique, après une victoire surprise sur la candidate démocrate Hillary Clinton.

En Afrique, c'est l'agissement du président gambien Yaya Jammeh qui est le plus marquant à la suite de sa défaite face à son rival et opposant Adama Barrow  lors des présidentielles du 1er Décembre 2016. Ce qui est frappant dans cette histoire c'est la volte face du président sortant qui après avoir reconnu sa défaite est  revenu sur sa décision. Un acte qui a fini d'installer le pays dans une instabilité politique.

Alors qu'en Europe, le président français François Hollande a tout simplement décidé de ne pas se présenter aux prochaines élections présidentielles de 2017. Il a renoncé à  se présenter pour un second mandat, le 1er Décembre 2016, car marqué par une impopularité record ( une première d'ailleurs sous la Ve République ). Autre point, c'est le fait qu'il n'a pas réussi à tenir ses promesses électorales notamment sur la question du renversement de la courbe du chômage chez les jeunes.

A cheval entre l'Europe et l'Asie, la Turquie a ,elle aussi, fait l'actualité durant cette année 2016 avec la tentative de coup d'Etat manqué dans la nuit du 15 au 16 Juillet 2016. Ce putsch s'est soldé par la mort d'une centaine de personnes et de blessés, suivi de l'arrestation de plus d'un millier de gens de profils différents avec des professeurs, des militaires, des avocats, entre autres .

                        Economie

 Tout comme en politique, l'actualité économique a été mouvementée avec des décisions, des crises et des révélations très surprenantes. C'est le cas de l'Angleterre et de sa sortie de l'Union Européenne.

Les Britanniques ont ainsi voté le jeudi 23 Juin 2016 à grande majorité pour  une sortie de leur pays au sein de l'Union Européenne. C'est le Brexit. Sortie qui n'a pas été sans conséquences pour le royaume avec la démission du premier ministre David Cameron dans l'immédiat., et des conséquences financières et politiques à prévoir à la longue.

Autre pays, autre continent c'est le Venezuela pays d'Amérique du Sud affecté par une crise économique qui a découlé sur une crise politique. Cette crise économique a conduit à des pénuries d'électricité, à des pillages et émeutes. Les populations continuent de réclamer le départ du président Nicolas Maduro.
Si tout est parti de la baisse du prix du baril de pétrole, la situation ne cesse d'empirer avec des supermarchés et des pharmacies complètement vides et des populations démunies.

Toujours dans ce qui a fait l'actualité économique de 2016, il y a le scandale du "Panama Papers". Une affaire d'évasion fiscale qui a impliqué de nombreuses personnalités avec des dirigeants politiques, des sportifs, des artistes. A la suite de la révélation de ces millions de documents issus du cabinet d'avocats panaméen Mossack Fonseca en Juin 2016 de l'affaire des "Panama Papers", des célébrités ont été éclaboussées et certains hommes politiques contraints de démissionner de leurs postes.

Tous ces éléments notés nous montrent un peu comment cette année, qui va s'écouler dans quelques jours, a été mouvementée, riche en révélations et en événements.
 2016 s'en va, ainsi donc, avec son lot de "surprises" les unes plus surprenantes que les autres.
Vivement que 2017 soit une année de paix, de joie, de bonheur, et de "bonnes surprises" pour tous.
















lundi 12 décembre 2016

MAOULOUD 2016

                                                                                                                                                                             
Elhadj Malick Sy
Crédit photo Google
 Le Gamou 2016 de Tivaouane a vécu. L'événement religieux était célébré ce Dimanche 11 Décembre 2016 dans de nombreuses capitales religieuses du pays notamment Tivaouane, Kaolack, Thiénaba.
A Tivaouane, cité religieuse de Seydi Elhadj Malick SY les fidèles ont convergé en masse pour célébrer la nuit sainte marquant la naissance du Prophète de l'Islam, le Sceau des Prophètes MOUHAMED ( PSL ).

Le Gamou Tivaouane 2016 en est à sa 115è, en effet Seydi Elhadj Malick SY l'avait initié en 1901-1902. C'est par la suite que ses enfants et héritiers l'ont perpétué jusqu'à nos jours.

Les festivités en prélude du Gamou ont débuté au 1er jour du mois de Rabi al-Awwal ( calendrier musulman ) coïncidant cette année avec le 1er Décembre 2016, Rabi al-Awwal étant le mois qui marque la naissance du Prophète.
Au cours des 10 premiers jours du mois, des séances de Bourd sont organisées partout au Sénégal, et au delà même. Il s'agit de réciter des panégyriques sur le Prophète, tirés du livre de l'Imam Boussayri.
Ces poémes en honneur au Prophète de l'Islam sont récitées chaque nuit, 10 premières nuits du mois, par les fidèles tidianes du Sénégal, et au delà même.
La confrérie tidiane, l'une des plus représentées du pays, est présente partout dans le monde. Cette communauté religieuse célébre ainsi la venue au monde ou même l'anniversaire de notre Prophète au 12e jour du mois de Rabi al-Awwal.
Sa naissance étant un moment important chez tous les musulmans du monde, dans la confrérie Tidiane elle est considérée comme un événement far dans le calendrier des fidèles Tidianes d'où l'effervescence qu'il y a eu à Tivaouane durant ce week-end.
Cette confrérie, l'une des plus représentées au Sénégal, célèbre la nuit sainte chaque année dans les différentes capitales religieuses du pays.

Le thème de cette année-ci était  " La biographie du prophète (PSL), bréviaire pour la Oummah Islamique. Un moyen pour nos marabouts et responsables religieux de nous inciter à mieux nous imprégner de la vie de notre Prophète pour pouvoir vivre en toute conformité avec les recommandations de l'Islam.

Nuit du Gamou à Tivaouane
Crédit photo Asfiyahi

Tivaouane








mardi 6 décembre 2016

L'utilisation des Médias Sociaux

Guide d'utilisation des réseaux  sociaux

L'IPAO ( Institut Panos Afrique de l'Ouest ) a organisé une conférence sur l'utilisation des réseaux sociaux ce Mercredi 30 Novembre 2016 à l'Auditorium de la Place du Souvenir.
Le thème était "Appropriation des médias sociaux par les organisations de la société civile".

Au cours de cette conférence, il y a eu d'abord M. Libasse Hann, chargé de projet dans l'institution, qui  pris la parole pour nous faire l'historique du PANOS ainsi que leur domaine de travail et des pays dans lesquels ils interviennent. Sans oublier de mentionner que l'organisation travaille avec les médias sociaux.
Car en plus des médias traditionnels, les médias sociaux leur permettent d'avoir des informations sur divers domaines même s'il a souligné que ces médias ne cherchaient pas à concurrencer les premiers nommés c'est à dire la radio, la télévision et la presse écrite.
La PANOS a fait des recherches dans différents pays africains ( 7 très exactement ) pour voir le rôle, l'importance de l'utilisation de ces nouveaux médias dans ces pays.
La 2e intervenante était Mme Soukeyna Tall, représentante du GEEP au Sénégal. Le GEEP étant un organisme non gouvernemental qui existe depuis 1989. Ils interviennent dans l'éducation des jeunes, les adolescents. Le GEEP et le PANOS ont travaillé ensemble pour briser le silence sur l'excision. Ils ont ainsi réussi à recueillir le témoignage de jeunes filles excisées à visage découvert.

Panel 1: Médias sociaux et changement social

L'exposant était Hyppolite Dossou Yovo, chargé de projets radio à Panos Afrique de l'Ouest. Dans leurs recherches, ils ont analysé les hashtags utilisés par des Organisations de société civile (OSC) pour se faire entendre.
En Côte -d'Ivoire, celles-ci ont pu venir en aide via des hashtags des personnes démunies, ainsi qu'à des prisonniers.
Au Bénin, c'était l'opération "Mercredi  Rouge".
Au Ghana et au Nigeria, Bring Back our Girls en soutien aux jeunes filles enlevées par Boko Haram.
Au Sierra- Léone, le hashtag 50/50 a permis aux femmes de se faire entendre via les réseaux sociaux car n'ayant pas un accès direct aux médias traditionnels.
Au Burkina-Faso, le départ de Blaise Compaoré du pouvoir suite à un putsch en Septembre 2015 a été appris par de nombreuses personnes à travers les réseaux sociaux. Plus de 40% des personnes interrogées  disent l'avoir appris par Facebook, puis Twitter puis les autres sources.
La campagne s'est poursuivie jusqu'en Guinée.


Panel 2: Contraintes, Difficultés et Menaces auxquelles s'exposent les organisations de la société civile dans l'utilisation au quotidien des médias sociaux pour communiquer

Dans cette 2e partie du débat, on a eu 2 exposants: Micheline Lawson et Mountaga Cissé.
Lors de son exposé, Mme Lawson, blogueuse et chef d'une agence de communication, a d'abord parlé de l'utilisation d'internet au Sénégal.  Grâce à leurs statistiques, il est ressorti que le Sénégal était vu comme un champion sahélien. Près de 7,260 000 millions de personnes utiliseraient l'internet au Sénégal, le pays est au 65e rang mondial du classement de  Reporters Sans Frontières.
Parmi les réseaux sociaux les plus utilisés dans le pays, c'est Facebook qui arrive en tête, suivi de Twitter.

Quant au second exposant à savoir M. Mountaga Cissé, journaliste et blogueur, il est revenu sur la protection ses données en ligne.
Pour s'y faire, il a eu à dégager plusieurs pistes.
Parmi celles-ci, il y a la veille technologique qui consiste à utiliser des moyens pour éviter les virus. Puis, la sensibilisation sur l'endroit même où sont stockées nos données, ainsi que la mise en place d'une politique de sécurité c'est-à-dire ne pas toujours garder le même mot de passe d'un site à un autre.
Pour terminer, il est revenu sur la législation mais aussi ce qu'il faut faire si son compte est piraté.

L'événement riche en enseignement nous a permis de voir l'impact qu'avaient ces nouveaux médias dans nos vies. Mais aussi, leur rôle plus qu'important dans l'émission et la réception de l'information.

dimanche 4 décembre 2016

"Arrêt sur Elles"

           Ce cours métrage de 26 minutes porte l'oeuvre de Maïmouna Eliane Thior. La jeune dame, journaliste et documentaliste, a voulu montrer à travers son film le rôle de la femme qui essaie d'allier vie familiale et professionnelle.
 La projection de ce film documentaire a eu lieu ce Samedi 3 Décembre 2016 à la salle de projection de la Librairie Harmattan située sur la VDN. Le thème était Femme entre vie professionnelle et vie familiale.
 Ce qui pourrait être vu comme un hommage à la femme mais surtout à la femme qui allie la gestion de son foyer et de son boulot sans que l'une n'affecte sur l'autre. C'est dans une salle pleine de monde que s'est tenue la cérémonie. Il y a eu d'abord la prestation de la troupe Espoir de la banlieue qui a fait rendu un vibrant hommage en montrant dans un joli spectacle le rôle déterminant de la femme dans la vie et dans nos sociétés. S'en est suivie une remise de dons de livres à un lycée situé dans la région de Thiés, le lycée de Sangué par le Réseau des femmes bibliothécaires, archivistes et documentalistes du Sénégal, parrain du film.  C'est à la suite de tout ceci que le film a été projeté.

"Arrêt sur Elles" nous raconte l'histoire de Saphia, une jeune femme mariée et cadre dans une banque de la place. Ses journées commencent à 5h du matin pour se terminer à 22h. A son réveil, elle va s'occuper de son mari d'abord lui préparer à manger, puis ce sera à son bébé âgé de quelques mois de prendre son bain. Avant de partir au bureau, Saphia fait toutes les tâches ménagères puis passe chez sa mère, située à une dizaine de minutes de son appartement, pour y déposer sa fille.

C'est à la descente, vers 18h qu'elle passe pour récupérer son enfant et renter chez elle. Arrivée à la maison, Saphia n'a pas le temps de se reposer car il y a le dîner qu'elle doit préparer avant que son mari ne rentre.
Malgré tous ses efforts, elle a le sentiment que c'est insuffisant voire même insignifiant pour la survie de son couple Car sentant que son mari s'éloignait d'elle de plus en plus, ce qui lui fera penser même à certains moments qu'il avait une maîtresse.

Ce film riche en émotion a été applaudi par le nombreux public présent dans la salle.
Parmi les invités qui ont pris la parole après la projection, il y avait  Saphia l'actrice principale puis le Professeur Massamba  Gueye, Monsieur Seyba Traoré, entre autres avant que ça ne soit au tour de Mlle Maïmouna Eliane Thior. Celle-ci a tenu à remercier le public et a faire un plaidoyer pour que les femmes soient plus respectées, plus reconnues dans les sacrifices qu'elles font pour satisfaire leurs époux.
La cérémonie a pris fin après 3h de partage et de discussion sur la condition de la femme et surtout de la femme mariée et travailleuse.
"Arrêt sur Elles" est un film riche en émotion mais aussi rend hommage à Toutes les Femmes du Monde.
En attendant sa sortie prochaine, voici un extrait du film.




 










mercredi 23 novembre 2016

Bébé intelligent

       Les bébés sont des êtres fascinants. Petits, parfois même très petits, ils savent utiliser de leur intelligence pour se sortir de certaines situations.
Ils nous apportent de la joie dans nos cœurs. Mais ces petits êtres savent aussi se servir de subterfuges pour se sortir de leurs "problèmes".

La vidéo qui va suivre va faire déchanter ceux qui doutent de l'acuité dont font preuve ces enfants.
Ces êtres si innocents mais aussi si intelligents ne cesseront de nous surprendre.
Observez-le!







mardi 15 novembre 2016

CESTI, mon école



Le logo du CESTI
  Intégrer le CESTI  est un rêve nourri par beaucoup de jeunes étudiants. Le Centre d'Etudes des Sciences et des Techniques de l'Information est une école d'excellence en journalisme.
Crée en 1965 avec l'appui de l'UNESCO, le centre a eu à former des journalistes de renommée aux différents supports des médias.  Différentes nationalités s'y retrouvent à travers les différentes promotions qui y ont effectuées leurs formations.


Situé au sein de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar où il est même rattaché, le Cesti a formé ( et continue de le faire ) des journalistes des pays francophones et même au delà. 

Dans la formation en tant que telle, les cours sont pour la plupart donnés par des professeurs qui sont reconnus dans leur domaine. 
Et justement, parlons de ces encadreurs, composés pour la plupart d'anciens de l'école qui sont devenus par la suite formateurs là où ils ont été eux-mêmes formés. 
Ainsi on y retrouve des professionnels de la radio, la télévision, et même en presse écrite, tout étudiant qui entre dans l'école est formé dans ces différents supports.
C'est ainsi qu'on retrouve des anciens présentateurs télé tels M. Yves Jacques Sow, M. Abdoulaye Ndiaye,  mais aussi d'autres toujours en activité tel M. Atoumane Diaw qui forment les étudiants en télévision. A la radio, il y a des Messieurs tels M. Mbaye Sidi Mbaye aussi appelé grand-père, M. Lamine Touré qui sont très connus dans le monde des médias et de la radio plus précisément.
Enfin, en presse écrite il y a M. Djib Diedhiou, qui a servi dans beaucoup d'organes de presse dont le Soleil et l'APS ( Agence de Presse Écrite), un journaliste de renom lui aussi tout comme M. Mame Less Camara, qui a fait la radio puis la presse écrite.
A vrai dire, ils sont nombreux ces journalistes, ces hommes des médias qui sont des modèles pour la jeune génération et qui travaillent au Cesti tout en transmettant des valeurs d'éthique et de déontologie aux journalistes de demain.
C'est cette formation de qualité dispensée par des professionnels des médias, des hommes imbus de valeurs,  qui fait ainsi la qualité de notre école.


Quant aux étudiants, ils sont de plusieurs nationalités. S'y retrouvent des Sénégalais, des Béninois, des Guinéens, des Mauritaniens, des Camerounais, des Maliens et même des Français. Comme pour témoigner de la place de renom que porte l'école, mais aussi la diversité de cultures qui y existe. 

C'est du fait de cette attraction, que le corps administratif a opté pour un nombre limité d'étudiants par classe pour pouvoir dispenser normalement les cours aux apprenants. Car il ne faut pas oublier que l'entrée au CESTI se fait par concours, un concours qui est par ailleurs très sélectif.






Façade du Cesti
Porte d'entrée de l'école


Parce que réussir ce concours, organisé chaque année pour les étudiants de niveau Licence et Bac, constitue un privilège que toute personne qui y est admise s'efforce de faire de son mieux pour mener à bien  sa formation.

Et même si la formation reste très dure j'allais jusqu'à dire très rigoureuse, on comprend que c'est fait dans le but d'assurer des études de qualité à ces futurs journalistes. En retour, la volonté, l'envie de réussir, l'amour et la passion qu'on a tous pour ce métier, sont ce qui dope les Cestiens et qui les poussent à faire plus et mieux dans leur travail au quotidien.
Enfin, notre école fait partie de l'une des meilleures écoles en journalisme sinon même la meilleure, de par la formation de qualité dispensée mais aussi le professionnalisme dot font preuve les journalistes qui y sont sortis. Et ce sont tous ces éléments réunis qui font du Cesti une école de référence en journalisme.
La formation qui dure 2 à 3 ans ( en fonction du niveau d'étude avant le concours soit 2 ans pour le niveau Licence et 3 ans pour le niveau Bac ), sera suspendue par un diplôme supérieur de journalisme. L'obtention du précieux sésame fera du récipiendaire un bon journaliste, un professionnel des médias fini. Car même s'il est spécialisé dans un médium bien précis au cours de la deuxième année, cela n'empêche qu'il aura été formé à la télé, à la radio, à la presse écrite et même aux techniques telles la photographie, le montage et la caméra sans oublier les cours d'initiation aux nouvelles technologies de l'information et de la communication.
C'est tout ceci qui fait, ou même qui a fait, du CESTI ce qu"il est devenu c'est-à-dire une école de référence dans la formation en journalisme;
Alors je dis bonne chance à tous les Cestiens dans leur quête de l'excellence.


              " Cestien hier, Cestien aujourd'hui, Cestien toujours! "





lundi 24 octobre 2016